Publié le 10 mai 2021 Mis à jour le 10 mai 2021

L'égalité des sexes reste un combat dans les formations et les métiers des sciences, des technologies, de l'ingénierie ou du numérique. L’écart se creuse dès l’entrée au lycée, où les filles sont minoritaires dans les spécialités scientifiques (47,4%). Ainsi, en 2018, avant la disparition des filières S, ES et L, seuls 15,2 % des élèves en terminale scientifique, ayant opté pour la spécialité "sciences de l'ingénieur" étaient des filles.


Dans l’enseignement supérieur, les différences sont encore plus nettes parmi les diplômés scientifiques. En 2017, 28,1 % des ingénieurs étaient des femmes et ce taux était de 40,6 % parmi les docteurs en sciences.

Ces inégalités perdurent, notamment du fait de nombreux stéréotypes :
 
  • « Les études scientifiques sont pour les garçons »
  • « En Génie Mécanique ou Mesures Physiques, il n’y a aucune fille c’est sûr »
  • « À l’IUT et dans les filières technologiques, il n’y a que les garçons qui réussissent ! »

Les étudiantes des DUT Mesures physiques et Génie mécanique et productique, impliquées dans le projet Tetr’ISS ont décidé de tordre le cou à ces clichés qu’elles ont si souvent trouvés sur leur chemin.

Elles reviennent, dans deux vidéos, sur leur parcours, leurs choix et leur volonté de se faire une place dans ce milieu dit masculin.

Dans ce premier épisode, elles présentent avec passion et sincérité ce qui les a menées vers les études scientifiques et ce qui leur plaît dans leur formation à l’IUT.

Regardez, écoutez et retenez ! Que toutes celles qui hésitent encore en prennent conscience : elles ont leur place dans ces formations et dans les métiers scientifiques.

Le deuxième épisode disponible prochainement, reviendra sur l’implication des femmes dans le projet Tetr’ISS.




 

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