Léo Combes snow (2014/16)

J'ai découvert Glissalafac par hasard en 2014, en feuilletant le petit bouquins des activités sportives que l'on peut pratiquer au sein de l'UPS..
Ma première réaction: génial, faire du Snow à un tarif très attractif! Quand on est étudiant, c'est pas négligeable!
Très rapidement je me suis fais des amis, étudiants, moniteurs et responsables.
J'avais beau avoir des années d'expérience derrière moi, j'ai réappris à faire du snow!
La seconde année j'intégrais la sélection et validais le 1er niveau.
La troisième année je validais le 2ième niveau et j'enseignais au débutant comme à celui qui souhaitait se perfectionner.
Au delà d'enseigner la pratique du snow, c'est une passion commune et partagée qui anime Glissalafac.
Qui mieux que des passionnés peut enseigner une discipline sportive?
Le responsable de la section Snow en est le parfait exemple, Pierre Reigner, un peu Old School (et ça lui va bien!), mais tellement pédagogue et compétant.
Une mine d'informations. Il transmet son savoir sans compter les heures qu'il y passe.
Laissez moi vous dire 2 phrases sur le Stage: il n'y a pas mieux pour progresser rapidement et partager des moments inoubliables! J'ai tellement de bons souvenirs!...
La formule "cours le matin, libre l'après-midi" est adéquate: on apprend et on se perfectionne toute la matinée, puis on profite de l'après-midi pour retrouver ses potes et rider ensemble.
N'allez pas croire qu'être mono est tout repos, au contraire! Et la formation mono est loin d'être aussi accessible qu'on le laisse croire!
Mais j'y reviens, la passion et le partage sont les maîtres mots de mon passage à Glissafac.
J'y ai fais des rencontres, et des amis pour la vie!

Merci Glissalafac ;-)



Michel REBIERE Ski (1985/1990)

J'ai eu la chance d'intégrer l'équipe des moniteurs à l'hiver 1985 (et oui, ça existait déjà il y a 30 ans!!!) par un ami (NDLR: Vincent Fiderer et son beau père, Hubert, célèbre pour ses ronflements à réveiller tout un gite... Ca, c'est en aparté pour la petite histoire ) qui était déjà sur place.
Au delà de la fierté d'avoir réussi les tests et stages de formation, être moniteur m'a apporté énormément :- un gros bagage "ski", énorme merci à Messieurs Serge Campistrous et Alain Grenier! De la pédagogie, du travail, et beaucoup d'heures sur les pistes m'ont permis de progresser de manière très agréable, que ce soit sur la théorie, les méthodes d'enseignement ou la technique. Bref, avant de rendre au autres, on prend aussi pour soi (même si on en a parfois bien bavé! :-) )! - des rencontres! Que ce soit les autres moniteurs ou les élèves étudiants, j'ai croisé beaucoup de monde, noué des amitiés. Le service des sports, c'est un grand melting pot qui permet de s'ouvrir et découvrir d'autres horizons. - des souvenirs à la pelle! Les fêtes du ski à Guzet (Ah, la course en ligne!), les stages au Grand Hôtel de Superbagnères, au chalet d'Espiaube, les sorties du samedi, les apéros, les journées de ski énormes, les après-midi "recyclage" made in Campistrous, les soirées...Que de bons moments qui restent en mémoire des années après... - une découverte des stations pyrénéennes : pendant 5 ans, on a pu skier sur pas mal de stations, superbe opportunité pour se balader!- du bon ski à pas cher! Etudiant ne rimant pas avec portefeuille garni, le service des sports, qu'on soit moniteur ou élève, c'était la chance de faire plein de ski à des tarifs défiant toute concurrence!
En résumé, de très belles années dont je profite encore aujourd'hui : mais je réserve les cours pour la famille! :-)

François Bouyssiere, ski alpin, 1997- 2001

Le ski au SCUAPS...j'ai l'impression que c'était encore hier alors qu'y a au moins dix ans...ca y est je parle comme un vieux

Pour moi, tout à commencé sur un malentendu :

J'ai découvert le ski vers l'âge de 12-13 ans et j'ai tout de suite accroché. Mais à raison de 2 à 3 jours par an, on a juste de quoi se donner envie et il faut trouver une solution pour partir plus souvent, plus longtemps et surtout moins cher...Vers 16-17 ans, je commence donc ma formation BAFA pour encadrer des gamins sur les pistes. Arrivé à la fac je me présente donc au Scuaps pour savoir s'il existe des cours afin de me perfectionner avant de faire le stage final du BAFA.

La réponse : « oui, on a une formation moniteur.... » ??????? et là tout s'est enchainé très vite

La sortie de sélection ?

Une catastrophe : plus souvent par terre que debout mais...à la fin de la journée Alain me dit : « Bon, ca doit être la reprise pour toi,... il faut que ca revienne...et puis on a toujours besoin de moniteur pour les groupes de débutant....tu n'a qu'à faire le stage de moniteur et on verra à la fin si ca peut passer »

Le stage de formation moniteur ?

Chaque fin de journée je finissais à quatre pattes tellement j'étais épuisé, mais j'étais toujours là le matin suivant et j'ai finalement réussi à finir...et j'ai surtout appris à skier avec la fac.

Après, le fait de partir les we ou à la semaine en stage avec pleins de bon skieurs, et de pouvoir demander des conseils aux pros, ca fait qu'on apprend et même si je ne suis pas une star, je prends du plaisir dans pratiquement toutes les neiges.

Mais l'intérêt d'être mono à la fac n'est pas que là : Ca permet aussi de se forger une personnalité et de se découvrir. En plus, j'ai passé tellement de bons moments de rigolade et de plaisir sur la neige avec les autres mono que ca aurait été dommage de s'en priver.

Aujourd'hui, j'aime toujours autant la montagne et je pratique (pas autant que je le voudrais) les activités comme le ski ou le ski de rando, avec les membres du Club Alpin Français de Lourdes. Je suis installé à coté de Tarbes avec ma femme et mon fils où je travaille comme indépendant.

Cette expérience de moniteur à la Fac a été pour moi un des points phare de ma vie et j'y repense souvent avec bonheur et notamment à chaque sortie d'un nouveau Respyr !!!!! (Dédicace à Paquito) Alors n'hésitez pas, l'investissement en vaut le coup...



Yvan, Randonnée pédestre/raquettes, 2005/2009

Je m'appelle Yvan et je suis moniteur à Paulsab en randonnée pédestre/raquettes et escalade depuis 2005.
Le pas hésitant je suis entré il ya 4 ans dans la salle de réunion ou devait avoir lieu les inscriptions pour le monitorat. J'avais simplement idée de devenir autonome en milieu montagnard. Dés lors j'ai tout de suite été séduit par l'ambiance et l'organisation de l'association. Il règne ici un idéal de vie commune, basée sur l'échange d'expérience : dieu que ça fait du bien dans ce monde vilain ! L'ambiance qui en découle est automatiquement excellente, ça parle de projets de sorties, de raclettes géantes, de soirée en cabane, de traversée des Pyrénées, de belles gamelles, de gros flips, et j'en passe...
Sportivement on rencontre des personnes de haut niveau ce qui motive considérablement à augmenter le sien.
Mais devenir moniteur c'est surtout faire un grand pas en avant du point de vu développement personnel. La responsabilité d'un groupe et des décisions, la communication et l'organisation mais aussi l'animation autour  d'une randonnée, amène à une évolution certaine de sa personnalité. Ce sont des outils qui servent, notamment quand parallèlement on entre dans le milieu professionnel, comme ce le fut pour moi.
Donc n'hésitez plus, devenez moniteur à l'ups, et venez partager votre bonne humeur ! 


Céline Sirvins, Snowboard, 1996/2001

Ah... mono au SCUAPS, que de super souvenirs !! Bon, c'est vrai, quelques gamelles aussi (notamment une fracture du coccyx le jour de la selection des moniteurs, en décembre, qui ne m'a pas empêché de finir la saison) ;-) J'ai été monitrice de snowboard de 1996 à 2001 environ. L'ambiance était vraiment super, cette formation m'a apporté beaucoup, et pas seulement sur un plan technique. Les cours de pédagogie me servent encore, les méthodes de management s'appliquent aussi bien aux groupes d'apprentis seurfeurs qu'aux compagnies aériennes! Je travaille actuellement comme ingénieur en gestion des campagnes de retrofit (en gros, gérer et planifier l'installation des mises à jour) auprès des compagnies aériennes. Je ne sais pas ce qui m'a laissé les meilleurs souvenirs, les sorties en bus du samedi suivies des soirées danse ou les stages à St Lary... La fête du ski, les verres de punch au départ du slalom, les courses de plateau dans les couloirs de l'hotel, les "Mickey's killer", les batailles de cacahouetes, le carré blanc (la boite de St Lary), les ti punch d'Alain, ... bref, tout était génial! Ce diplôme m'a aussi permis d'arrondir mes fins de mois puisque j'ai encadré des colonies de vacances plusieurs hivers d'affilée. J'avais un groupe de 8/10 ados (16 à 18 ans) et on tracait des pistes à Baqueira toute la journée, pour 1000 fr (150eur pour les plus jeunes...) par semaine. Le BE de snow n'existant pas, ce diplome était très recherché dans l'animation. Ensuite, à la fonte des neiges, on retrouvait les mêmes accros du SCUAPS lors des sorties planche à voile à la Ganguise et des stages à Biscarosse. Ca va bientot faire 10 ans que je n'ai pas mis les pieds dans le couloir du service des sports mais je garde ces souvenirs en mémoire comme si c'était hier.
Je profite de ce message pour envoyer un grand bonjour à Petit Pierre, David, Laurent et à tous les gens que j'ai pu rencontrer au SCUAPS .



Berthin Philippe, Planche à voile, 2002 - 2006


L'ambiance est sympa, les gens viennent pour s'amuser et tout se passe dans le plaisir.

Les cours de planche à la Nautique, les bringues, les soirées barbecue lors des stages, tout était réuni pour passer de bons moments ensembles.

Pour ceux qui veulent apprendre un sport comme la planche à voile, qui reste cher encore, vous pouvez recevoir des cours par les monos, qui sont comme vous des étudiants rigolos. Tout vous est prété et vous permet de pratiquer sur du matos moderne, alors n'hésitez pas. Vous passerez, c'est sur de bons moments et vous deviendrez accros à cette sensation si particulière de la glisse. Venez apprendre à jouer avec les éléments.

Pour les futurs mono, les cours du soir sont très utiles, que l'on soit compétiteur ou pas. Avec un bon  niveau validé par Laurent ou autres sur le Scuaps, vous pourrez passer votre brevet fédéral et connaître les bases de la voile. De la théorie à la pratique en passant par l'enseignement, voilà ce que j'ai vécu lors de mon passage.
Aujourd'hui, je n'enseigne la planche qu'à mes proches, mais j'ai appris une façon d'enseigner, de communiquer avec les autres qui me sert au quotidien.

N'hésitez plus, je vous conseille fortement de venir en tant qu'élève ou mono pour passer de bons moments sur l'eau.



Romain Chomaz, ski, 2004_2008

Etre monos à la fac... Le top ! Eh oui pour un prix modique, on vous propose une formation qui permet avec un niveau correct d'apprendre à apprendre le ski ; c'est pas beau ça !
En plus l'aprem vous bénéficiez des bons plans de Serge, Laurent et Arnaud pour aller faire du hors piste (pas si mal ma fois, parole de Mauriennais).
La fac vous prête du matos, vous emmène (en bus) dans les petites et les grosses stations suivant les conditions.  
Bon concernant mon expérience persos, j'ai passé des supers journées avec Glissalafac.
Les journées peufs, ensoleillés, peu de fois pourris (le choix des destinations a souvent été judicieux).
Malgré que les monos ne soit pas diplomés il n'y a pas eu d'accident ou de conneries énormes, signe que l'enseignement des monos est bon...
La camaraderie ... toujours super ambiance, que ce soit en journée ou pendant le retour avec bien souvent l'apéro au fond du car.  
Que de bonnes choses en sommes, la contrainte, les cours du matin? Permettent de faire de bonne rencontre et mine de rien de connaître des gens qu'on croise tous les jours sur le campus.



Guillaume COSTES, moniteur en ski cuvée 2008
 
Je me suis lancé dans cette formation de moniteur pour me perfectionner en ski et parce que j'avais une certaine envie de donner des cours.
L'objectif a été pleinement rempli grâce à de vrais cours papier qui permettent d'expliquer aux élèves clairement les mouvements que l'on réalise presque machinalement  avec le temps.
Ensuite un superbe perfectionnement dans tous les domaines avec des heures passées dans les piquets, dans la puff à faire du carving et j'en passe...tous cela durant la formation moniteur d'une semaine au stage de noël et ensuite à toutes les sorties le samedi aprem-midi.
Aprés c'est une superbe experience humaine avec une équipe de mono où l'ambiance est très très bonne comme peuvent en témoigner les sorties au bistro le samedi aprés le ski et quelques retrouvailles dans des resto hors saison... Et ensuite il y a les éléves super motivés, sympa qui ont notre âge environ avec qui on peut rigoler librement.
Voilà pour mon experience qui n'est pas encore finis et qui j'espère va durer encore pas mal d'année.
@ très bientôt en tant que moniteur ski ou snow qui sais...
 


Yann, planche à voile, 2001-2005

Je crois que c'était en 2001 que j'ai commencé la formation pour la planche à voile !
Nous étions un joyeux groupe et franchement on s'est bien amusé pendant la formation !

La formation parlons en !
Le mot enrichissant est faible et à tous point de vue.

Dans un premier temps, enrichissant pour toutes les notions théoriques, savoir et comprendre comment marche notre voile à flotteur préférée, ça n'a pas de prix.
ça nous permet aussi de comprendre pourquoi untel va plus vite que nous, pourquoi dans tel situation, j'ai finit à la baille.
Bref cela nous permet de progresser.
D'autant qu'on ne se limite pas à la planche, il y a aussi de la météo, de l'histoire ...
Bref de quoi en mettre plein la vue à des voileux de longue date mais autodidacte (c'est du vécu ..).

Ensuite, il y a la pédagogie, ce ne fut pas simple au début mais après quel plaisir !
Voir ses élèves progresser, pouvoir leur expliquer pourquoi il n'y arrive pas, comment ils doivent s'y prendre ...
Le plus gratifiant est de voir l'œil de son élève briller avec un sourire banane en s'exclament : "j'ai plané ! j'ai plané !".

Enfin il y a tout l'aspect sur les relations humaines.
Comme je le disais plus haut, on s'est bien amusé pendant notre session.
On fait connaissance, on partage un tas de chose avec les élèves, les monos ..., au final on finit à deux heures du matin complètement à la ramasse mais avec pleins de trucs rigolo à raconter ...
On doit aussi apprendre à composer avec les gens, à essayer de trouver la meilleur façon de motiver, expliquer, faire passer un message ...
Bref les contacts humains sont primordiaux et ... intéressants.

Et ça sert !
Professionnellement, une partie de mon activité m'amène à encadrer des personnes, expliquer des concepts en réunion, former des utilisateurs ...
Et là la formation prend tout son sens, je ne serai pas aussi à l'aise, patient, pédagogue ... sans avoir fait le monitorat.

En fait j'ai même pu "vendre" à des recruteurs que je savais manager, car étant moniteur ...

Pour conclure, le monitorat a été une super expérience dont les acquis servent dans la vie de tous les jours !
A faire de toute urgence !

YANN



Cyril BOHLEY , Planche a voile, 2006-2007

Au niveau de la pratique perso, le fait d'enseigner l'activité m'a permis de reprendre les fondamentaux et surtout  de me rendre compte que des fois, on n'applique même pas ce que l'on enseigne ! Erreur ! Du coup on se remet un peu en question au niveau de notre pratique et essaye d'effacer tous les défauts accumulés, tout ca pour tomber moins souvent et aller encore plus vite ( c'est important pour rester devant Laurent ! lol)
Au niveau relations humaines, j'ai adoré. N'étant pas de la région, suivre cette formation m'a permis de me rapprocher de gens passionés par cette activité, autant les élèves, les monos que l'instruteur, ou encore tous les usagés de la guanguise. Grâce à la planche j'ai fait de belles rencontres et ai passé de super moments, tant sur l'eau, qu'en cours ou lors des pique-niques.   En plus j'ai eu la chance de pouvoir participer au défit wind 2007 et ce grâce à Laurent, à ses amis, ainsi qu'au SCUAPS. J'en garde un souvenir extraordinaire !
Et puis si tu n'a jamais navigué à la guanguise, tu n'est pas un vrai windsurfer
Enfin, ce qui est génial avec cette formation, c'est qu'il s'agit en fait d'un échange de bon procédés. On est bien formé, dans de bonnes conditions et avec du matos très acceptable (ya tout ce qu'il faut !), ca ne nous coute pas chère (bien moins qu'ailleurs) et en même temps Laurent bénéficie de nos services gratuitement le temps de nos stages pratiques tout le monde est heureux !
Que du bon donc, à part
Ca m'a aussi permis de faire des cours de PAV pour dépaner à l'UCPA alors que j'étais plus chef de maison et organisateur d'évènementiel !
J'en passe et des meilleures le meilleur : que de bon souvenirs et un diplome de plus en poche
le moins bien : les jours de pluie avec la température sous les 25 ° en combi blouson doudoune coupe vent et swet a capuche et les désalages fin novembre !!!



Pauline Capel, ski, 1999-2004

J'ai été monitrice de ski pendant quelques années. Franchement, ce fût de super moments.
Avant de passer mon monitorat, j'étais timide, réservée et même effacée, en passant le monitorat, il m'a fallu m'ouvrir aux autres, m'"imposer" et avoir beaucoup plus d'assurance en moi.
Avant de passer mon monitorat, j'avais un bon niveau, mais je n'étais pas exceptionnelle, ça m'a permis de progresser tant au niveau technique qu'au niveau pédagogique.
Franchement, c'est génial quand on arrive à faire aimer sa passion à des personnes qui ne sont jamais montés sur des skis, et que l'on les voit progresser de samedi en samedi.

Le fait d'avoir pris de l'assurance en moi me sert tout les jours, je travaille dans le 2d œuvre, en climatisation, et je fais des devis qu'il me faut expliquer aux clients.... 2d œuvre = monde d'homme, et les hommes n'aimant pas forcement avoir tord.... il ne faut surtout pas que je me démonte..... sans commentaire lol

Sinon, quand on me dit monitorat de ski, à quoi je pense??? aux cours bien sûr, aux sorties, aux semaines.... mais aussi, je pense aux grandes fêtes du ski où franchement j'imagine que tous ceux qui ont participé ont eu des moments inoubliables: ne serait ce qu'apparaître, au petit matin, dans son costume et voir qu'on n'est pas les seuls à avoir l'air complètement brenque!!! si vous voulez voir à quoi je pouvais ressembler, je suis celle déguisée en ange (enfin ça ressemble à un ange.... :D) dans les photos du site.
Il y avait aussi dans la même lignée les Gamel Trophee a ne surtout pas rater!!!!

Enfin, je n'ai qu'une chose, si vous avez un peu de temps et une passion, n'hésitez pas à la faire partager.... Si tu as un doute, Laurent a raison, teste pendant le stage de noël et tu verras l'ambiance et si tu es fait pour ça....



Laurent Sabrazat, Snowboard, 1999-2005

Pour ma part, j'étais moniteur de Snowboard durant la période de 1999 jusqu'en 2005 (je crois).

Actuellement je suis Ingénieur Mayériaux dans le secteur Aéronautique.

La formation Moniteur,  m'a permis d'approfondir mes connaissances du milieu de la montagne (formation avalanches, Techniques de formations,etc...).

Le plus important, est que cela m'a permis de passer de très bon moment avec toute l'équipe du SCUAP ( mais aussi de profiter de sortie ski à moindre coût ...IOI).

Mais le plus important, c'est que j'y ai rencontré ma femme, avec qui j'ai eu 2 enfants, et qui peut être eux aussi participeront aux activités sportives du SCUAPS.

Dans tout les cas, participez à la première sortie de la saison qui se fait généralement avant les vacances de Noël (si Mr Météo est généreux!), cela te donnera un premier apperçu de ce que cela peut être.




Philippe Roullet, ski  et formation moniteur de planche en 2005

La glisse à la fac c'est le top pour vivre sa passion pas cher. Donner des cours
de planche, de fun, de snow ou/et de ski est une très belle opportunité que
nous offrent certaines facs comme Toulouse.
C'est un grand enrichissement sur le plan pédagogique notamment et un grand
kiffe aussi ! J'oublierai pas de sitôt mes hors-pistes à Saint Lary dans 50 de
peuf aux côté de monos confirmés.
Enseigner le ski à des étudiants venant des 4 coins du monde et qui pour
certains n'avaient jamais vu la neige ça aussi, c'était fort !
Aujourd'hui j'enseigne le fun et la planche au Club Med. Il est évident que mes
expériences de mono ont été une top préparation pour ce que je fais
aujourd'hui.



Jordi Frere, Tir sportif, Planche à voile, 1995-2005

Animateur de tir sportif 10 mètres de 1995 à 2004.
Pratique en compétition de la discipline toujours actuelle, participation à la vie du club de Cahors tir sportif suite au "club de la fac".

Animateur planche à voile 2003 à 2005.
Peu de pratique depuis si ce n'est en vacances car pas d'activité similaire proche de chez moi.

Dans tous les cas (c'est aussi valable pour la pratique non mono du roller, du rink, du ski, du volley) découverte des deux disciplines au sein de la fac dans une ambiance conviviale.
Partage de moments de passions, de rigolades, de fêtes avec des gens (en grande partie étudiants) différents.

Petit investissement et coup de main, à mon échelle, au SUAPS et à la vie des activités sportives de Paul Sabatier.



Paul Jébeily, Planche à voile, 1996-2000

La formation a été une experience unique, fabuleuse ! D'une part parce qu'elle m'a permis de faire le point sur mes connaissances, de les approfondir le plus finement possible, tant en théorie qu'en pratique, et d'autre part de passer d'un état de pratiquant à celui véritablement de pédagogue, ce qui était assez nouveau pour moi, bien qu'ayant déjà à plusieurs reprise pris part à l'apprentissage d'amis mais d'une façon très intuitive. La pédagogie, ça c'est quelque-chose que j'ai trouvé passionnant ! Arriver à décomposer avec des mots pertinants le mouvement à reproduire ! Suivre l'élève dans sa progression et sa capacité à évoluer, en lui donnant les images adaptées à sa perception pour lui faire sentir et comprendre des concepts de plus en plus complets. Voilà ce qui me plaisait ! Préparer des cours dans mon cahier, avec une partie théorie et un ensemble d'exercices pratiques, le tout dans une ambiance ludique et bon-enfant, avec des étudiants motivés, bon vivants, qui ont autant de choses à recevoir qu'à faire partager !  
Dans cette formation moniteur, ce que j'aimais aussi, c'était les réunions, parfois tardives, après les cours, au SCUAPS, entre moniteurs en formation et Alain (un gros cigare au bec !). Il y avait un mélange de sérieux et de camaraderie très plaisant !
Puis, lors des stages de planche à voile, dans des sites magnifiques (dans des chalets des plages des lacs de Biscarrosse ou Lacanau...), on partait à plus de 100 étudiants, planches sur le toit (on sait pas comment pour certains les planches arrivaient à bon port, ça tenait parfois du miracle !), pour une semaine de pur délir ! L'épouse d'Alain Grenier l'accompagnant, elle motivait avec elle une troupe de moniteurs de danse qui assurait les animations du soir ! Le matin, réunion à 9h entre moniteurs pour préparer la matinée de cours sur l'eau, qui se cloturait agréablement par un apéro sur la plage (et pas que du jus d'orange siouplais ! Hips !! ), repas au chalet (ou réfectoire pour d'autres). Navigation libre ou régates organisées l'après-midi ! Que du bonheur !! Ce stage permettait aux moniteurs en formation, comme moi, de valider leur partie pratique, et de rendre un bon nombre d'heures, nécessaires à l'obtention du diplôme, 80h je crois). Au delà de ces heures, nous étions défrayés par le SCUAPS !!  
Après avoir eu mon diplôme, j'ai bossé dans quelques écoles de voile-planche à voile, avant d'aller sur la côte méditerranéenne, j'ai commencé par donner des cours au club de La Ganguise, avec l'ancien gérant (Mr Tachon). Une experience tranquille (de 0 à 5 élève par cours), tout les samedi de la saison, payés 150 francs de l'heure!   C'est vrai que ce diplôme est très demandé! On peut facilement trouver une école, qui paye bien, nourri logé compris!