Publié le 24 juin 2021 Mis à jour le 30 juin 2021
À l’Institut des maladies métaboliques et cardiovasculaires de Toulouse (I2MC - Inserm / université Toulouse III - Paul Sabatier), le groupe de recherche dirigé par Marie-Pierre Gratacap, chargée de recherche Inserm, a identifié une cible potentielle pour prévenir une partie des lésions causées par un accident vasculaire cérébrale ischémique et, ainsi, limiter le risque de séquelles associées.

En France, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont la première cause de handicap acquis de l’adulte et la seconde cause de démence.

Dans plus de 80% des cas, les AVC résultent de l’obstruction d’une artère cérébrale par un caillot sanguin. On parle alors d’"AVC ischémique" (également nommé "embolie" ou "infarctus cérébral"). Il s’agit d’une urgence absolue : le caillot doit être éliminé le plus rapidement possible pour limiter la privation d’oxygène dans le cerveau et les séquelles neurologiques qui en découlent.

Le groupe de recherche dirigé par Marie-Pierre Gratacap a identifié une cible thérapeutique qui pourrait aider à en prévenir une partie.

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