Publié le 11 juin 2020 Mis à jour le 11 juin 2020
Nous ne sommes pas tous égaux face à la maladie. Être moins favorisé et moins éduqué nous conduirait plus couramment à une mauvaise santé : en particulier pour les maladies cardiovasculaires, le diabète et certains cancers, mais pas tous… Pour le cancer du sein, c’est différent : les femmes avec une position socio-économique (PSE) plus favorable seraient plus à risque ! Étudier l’impact de l’environnement social sur le développement et la progression de cette maladie est l’objectif de ma thèse d’épidémiologie.

Par Eloïse Berger, doctorante de l’Université Toulouse III – Paul Sabatier, au sein de l’équipe Equity du Laboratoire d’épidémiologie et d’analyses en santé publique de Toulouse (Leasp). Thèse réalisée sous la direction de Cyrille Delpierre et Raphaële Castagné, chercheurs Inserm.

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