Publié le 26 février 2020 Mis à jour le 26 février 2020
Les écosystèmes naturels sont de plus en plus transformés en zones agricoles ou urbaines. Au-delà de la perte globale d’habitat, la fragmentation augmente les distances entre les parcelles d’habitat. Des chercheurs et des chercheuses de la Station d’écologie théorique et expérimentale de Moulis (Sete, CNRS/UT3 Paul Sabatier) et l’Université catholique de Louvain (Belgique) ont testé expérimentalement si cette fragmentation pouvait modifier la capacité des organismes à choisir leur habitat durant leur dispersion. Leur étude vient d’être publiée dans la revue Proceedings of the Royal Society B.

Voir en ligne sur le site de l’Institut écologie et environnement du CNRS.