Publié le 9 septembre 2020 Mis à jour le 9 septembre 2020
Plusieurs mécanismes de réparation des cassures de l’ADN ont été caractérisés. Mais la manière dont s’effectue le choix entre ces mécanismes est moins connue. Une étude mené par une équipe de l’Institut de pharmacologie et de biologie structurale (IPBS) parue dans la revue Nucleic Acids Research, révèle comment la voie de réparation adéquate est sélectionnée en présence de cassures de l’ADN particulières, à la base de la toxicité de certaines molécules anticancéreuses. Perturber le choix entre les voies de réparation pourrait offrir une perspective pour améliorer l’efficacité de ces traitements.

Voir l'article original en ligne sur le site de l’Institut des sciences biologiques du CNRS.