Publié le 13 mars 2020 Mis à jour le 13 mars 2020
Une étude intégrant biogéochimie, isotopie et microbiologie a montré que, dans un lac sibérien, l’oxydation du méthane dans la colonne d’eau consommait intégralement le flux issu des sédiments. Ce résultat est majeur pour l’évaluation de la rétroaction des écosystèmes aquatiques au changement climatique. Cette étude publiée dans Scientific Reports a mobilisé un consortium international incluant des scientifiques du Laboratoire écologie fonctionnelle et environnement (EcoLab–OMP) et de l’Institut méditerranéen d’océanologie (MIO) de Marseille, dans le cadre du projet ERANET-LAC Methanobase.

Voir en ligne sur le site de l’Institut écologie et environnement du CNRS.