Publié le 18 mai 2020 Mis à jour le 18 mai 2020
Au cours du développement, les organes subissent des forces à grande échelle initiées à l’échelle du cytosquelette. Cependant, l’origine et la régulation moléculaire des réseaux cytosquelettiques supracellulaires restent peu connues. Dans cette étude, publiée dans la revue Nature Communications, une équipe internationale composée notamment de scientifiques toulousaines et toulousains du Laboratoire de biologie cellulaire et moléculaire du contrôle de la prolifération (LBCMCP-CBI), démontre qu’un réseau supracellulaire contrôlé par la petite GTPase Cdc42 établit des forces polarisées et conduit à l’extension de la chambre à œufs chez la drosophile.

Voir l'article original en ligne sur le site de l’Institut des sciences biologiques du CNRS.