Publié le 20 avril 2020 Mis à jour le 20 avril 2020

Les infections, même asymptomatiques, peuvent modifier le fonctionnement de notre système immunitaire, voire, parfois, améliorer le cours de maladies inflammatoires concomitantes. Des scientifiques toulousains du Centre de physiopathologie Toulouse-Purpan (CPTP) ont analysé ces mécanismes au cours d’une infection virale chez la souris. Dans deux modèles de maladies inflammatoires (sclérose en plaques et neuropaludisme), il a été montré qu’en ‘neutralisant’ la fonction de certaines cellules immunitaires à l’origine de ces pathologies, la réponse initiale des animaux contre le virus joue un rôle bénéfique. Cette étude est publiée dans la revue mBio.

Voir l'article original en ligne sur le site de l’Institut des sciences biologiques du CNRS.