Publié le 13 janvier 2021 Mis à jour le 13 janvier 2021
Les impacts de l'homme sur les forêts naturelles du monde ne se limitent pas à la déforestation. Le feu, la coupe de bois et l'invasion par des animaux et des plantes exotiques sont quelques exemples d'impacts directs sur la biodiversité et les stocks de carbone des parties non déboisées, ou vestiges forestiers. Mais quelle est l'ampleur (et le coût) de ces impacts humains ? Une étude parue dans la revue Nature Communications le 11 décembre 2020, issue d’une collaboration internationale de chercheures et chercheurs issus du Brésil, des Pays-Bas et du laboratoire Évolution et diversité biologique de Toulouse (EDB - CNRS, Université Toulouse III - Paul Sabatier, IRD), a révélé une situation alarmante pour la Forêt Atlantique d'Amérique du Sud. Elle met en évidence que les impacts humains ont déjà causé des pertes de 23 à 42 % de la biodiversité et des stocks de carbone des vestiges de la Forêt Atlantique. (...)

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