Publié le 9 novembre 2021 Mis à jour le 9 novembre 2021
Aux hautes latitudes, les flux de carbone des écosystèmes terrestres vers les écosystèmes aquatiques sont affectés par la dégradation du pergélisol. Une collaboration franco-russe composée de scientifiques du laboratoire toulousain Écologie fonctionnelle et environnement / OMP (CNRS, Toulouse INP, Université Toulouse III - Paul Sabatier), a permis d’instrumenter l’exutoire de la Rivière Graviyka, site suivi par les scientifiques russes depuis 1936. En utilisant un proxi optique, un suivi pluri-annuel et à haute fréquence temporelle de la concentration en carbone organique dissous a été mis en place, et a révélé les processus d’exports de carbone fluvial de ce bassin versant impacté par le changement climatique. Les résultats de cette étude sont parus dans la revue Journal of Geophysical Research : Biogeosciences. (...)

Lire la suite sur le site de l'Institut écologie et environnement du CNRS.