Publié le 23 juin 2020 Mis à jour le 23 juin 2020
Une nouvelle voie de synthèse de nanomatériaux hybrides vient d’être découverte : une méthode où les deux composants, nanoparticules métalliques de platine et polymères peptidiques, s’auto-assemblent spontanément comme deux briques de construction de même importance. Ce travail collaboratif mené par des chercheures et chercheurs du Laboratoire de physique et chimie des nano-objets (LPCNO) et du Laboratoire de chimie des polymères organiques de Bordeaux, est paru dans Nature Communications. Ces travaux, qui ont nécessité notamment les expertises du Laboratoire de chimie de coordination du CNRS (LCC), du Centre interuniversitaire de recherche et d’ingénierie des matériaux (Cirimat), du Laboratoire de génie chimique (LGC), du Centre de biologie intégrative (CBI) pour la caractérisation de ces superstructures pour la caractérisation de ces superstructures, apportent la preuve expérimentale d’un concept nouveau d’interactions pour structurer des objets à l’échelle du nanomètre.

Voir l'article original en ligne sur le site de l’Institut de chimie du CNRS.