Publié le 16 juin 2020 Mis à jour le 16 juin 2020
Depuis sa réémergence et son infection massive des Amériques en 2015, le virus Zika est responsable de nombreuses pathologies placentaires pouvant avoir des conséquences graves sur le fœtus. Dans une étude récente, une équipe française composée de scientifiques du Centre de physiopathologie de Toulouse Purpan (CPTP), a démontré que le virus Zika détourne le métabolisme des lipides afin de créer des usines de réplication virale et de perturber l’équilibre inflammatoire du placenta. Ce travail est publié dans la revue Nature Communications.

Voir l'article original en ligne sur le site de l’Institut des sciences biologiques du CNRS.